Biennale Paul Hurtmans : rencontres avec Max de Radiguès et Catherine Locandro

Cette année, la Biblio a accompagné la participation de 9 classes de l’Athénée Victor Horta et du Lycée Intégral Roger Lallemand à l’édition 2021-2022 de la Biennale Paul Hurtmans du livre de jeunesse. Cet hiver, après avoir assisté à une présentation des titres de la sélection par nos bibliothécaires, les élèves ont lu les livres, et ils ont à présent l’occasion de rencontrer un.e des auteur.e.s et poser leurs questions !

Ce lundi, les classes d’Yvanaël et d’Harmonie du LIRL ont discuté avec Max de Radiguès de sa BD Simon et Louise. Comment devient-on bédéiste ? Comment réalise-t-on une BD, combien de temps est-ce que ça prend, et bien sûr, devient-on riche ? Pourquoi écrit-il tant d’histoires d’ados et pour les ados ? Son nouveau titre Alerte 5 sera-t-il récompensé au Festival d’Angoulême cette semaine ?

Les élèves ressortent très excités de cette entrevue. Plusieurs ont déjà lu d’autres titres de Max, comme la série Stig et Tilde. Eliott lui trouve une patte originale, très reconnaissable. Erik, lui, apprécie particulièrement son approche plus réaliste que les classiques comme Tintin : « Il dit les choses, et on le ressent. » Et bien sûr, certains caressent également le rêve de devenir dessinateurs : Egon se réjouit d’ailleurs d’avoir appris qu’il n’est pas forcément nécessaire d’être déjà un génie du dessin à 12 ans. Max insiste : lui-même n’était pas bon en dessin à leur âge, et est entré en école d’art « par la petite porte ». Il faut beaucoup d’effort et de discipline, mais tout est possible, tout s’apprend.

 

Ce mardi, c’est Catherine Locandro, autrice de Cassius, que rencontrent des classes des deux écoles, et le programme de la semaine se poursuivra avec Thomas Lavachery, pour Rumeur, et Sarah Gréselle, qui a illustré le Princesse Bryone de Ludovic Flamant. Vous pouvez aussi trouver sur la chaîne Youtube du Centre de Littérature de Jeunesse de Bruxelles les captations du programme de primaire, ainsi que celle de la rencontre d’Aylin Manço pour Ogresse et une capsule de Sarah Gréselle sur son travail.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *