Je dis Livres ! Le club de lecture de la bibliothèque

La prochaine réunion de Je dis Livres ! aura lieu le jeudi 20 mars à 18h.

Deux livres seront présentés :

Deux dans BerlinDeux dans Berlin, de BIRKEFELD et HACHMEISTER

« Hiver 1944. Dans un hôpital militaire, Hans Kalterer, un ancien des services de renseignements de la SS, se remet d’une blessure par balle et s’interroge sur son avenir. Il sait que la guerre est perdue et qu’il a besoin de se racheter une conscience. Il rejoint la police criminelle de Berlin où il est chargé d’enquêter sur le meurtre d’un haut dignitaire nazi. Dans le même temps, Rupert Haas s’évade de Buchenwald à la faveur d’un raid aérien et rejoint Berlin pour retrouver femme et enfant. Or leur immeuble a été bombardé et il ne reste plus rien. Il décide de se venger de ceux qui l’ont honteusement dénoncé et qui sont responsables de son malheur. Tandis que la ville disparaît sous les décombres et les cendres, commence une chasse à l’homme sans merci : Haas recherche et tue de sang froid, avec des méthodes dignes des pires nazis et Kalterer,
entouré de vieux nazis corrompus et d’ennemis de la dernière heure d’Hitler, se lance à la poursuite du coupable et d’une position qui lui assurerait un avenir commode. »  Source : Babelio

Compagnie kCompagnie k, de William MARCH

« William March (1893-1954) est né en Alabama.  En 1917, il s’engage dans l’US Marine Corps et combat en France pendant la Première Guerre mondiale d’où il revient décoré de la Croix de guerre, de la Navy Cross et de la Distinguished Service Cross.  Hanté par ce conflit, il mettra deix ans à écrire Compagnie k, son premier roman publié en 1933.Décembre 1917. Une compagnie de l’US Marines Corps débarque en France et est envoyée au front. Pour la première fois, les hommes de la Compagnie K découvrent la guerre : attaques de nuit, balles qui sifflent, obus qui explosent, ordres absurdes, grondement de l’artillerie, tentation de déserter. Les cent treize soldats qui composent cette compagnie prennent tour à tour la parole pour raconter leur guerre, toutes les guerres. L’un après l’autre, ils décrivent près d’un an de combats, puis le retour au pays pour ceux qui ont pu rentrer, traumatisés, blessés, marqués à jamais par ce qu’ils ont enduré. » (extrait de la 4e de couverture)

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