Je dis Livres !

Le prochain club de lecture aura lieu jeudi 22 mai 2014 à 18h.

Nous vous présenterons 2 livres biographiques :

Eiffel par Eiffel, de Philippe Coupérie-Eiffel :

Eiffel« Il est l’auteur du symbole incontesté de Paris, qui fait rayonner son aura dans le monde entier. Mais il serait réducteur de limiter l’oeuvre de Gustave Eiffel à la tour qui porte son nom, bien qu’il se soit battu pour imposer ce qui n’était au départ qu’une utopie. A partir de 1856 où, jeune ingénieur, il se voit chargé de diriger le chantier d’une passerelle ferroviaire à Bordeaux – qui lui vaut la reconnaissance de ses pairs et forge son ambition -, il marque de son style les quatre coins du monde. Le pont sur le Douro au Portugal, le viaduc de Garabit, la gare de Budapest, la poste de Saïgon et même l’ossature de la statue de la Liberté ne sont que quelques exemples parmi plus de 300 réalisations magistrales. En 1892, sa vie bascule : un rapport le met injustement en cause dans le scandale du canal de Panama qui a éclaté trois ans plus tôt. Atteint dans son honneur, Eiffel choisit de se mettre en retrait, pour innover toujours plus : concepteur avant-gardiste du premier avion avec les ailes sous la carlingue, éminent spécialiste en aérodynamique, père de la météorologie moderne, il apparaît comme un créateur multiforme, fer de lance de l’âge industriel. Mais l’homme public n’a jamais pris le pas sur l’homme privé, et Gustave Eiffel a laissé à ses proches le souvenir d’un grand humaniste, doté du plus profond sens de la famille. C’est cet héritage que son descendant Philippe Coupérie-Eiffel défend aujourd’hui ardemment et nous invite à découvrir, à travers une mine d’archives, souvent inédites, qui révèlent un Eiffel intime et l’ingénieur de tous les possibles. »

(source : Babelio)

Le journal de Polina, de Polina Jerebtsova :

Polina« C’est l’histoire d’une ville où les snipers font joujou avec les civils, où les blousons ensanglantés jonchent les rues, où l’on défaille à la vue d’une boîte de corned-beef. Mais où l’on tombe amoureuse aussi, quand on a 14 ans, l’âge d’Anne Frank. Et celui de Polina en 1999, lorsque débute la deuxième guerre de Tchétchénie. Dans son journal intime, l’adolescente raconte Grozny sous les bombes.
Née en 1985 à Grozny, Polina Jerebstova se considère comme une Russe de Tchétchénie. Elle a bénéficié du soutien d’Alexandre Soljenitsyne pour publier son journal en 2011. Sa sortie a provoqué des débats violents en Russie. Le régime de Vladimir Poutine et ses partisans ne sont pas prêts à reconnaître les crimes commis par l’armée russe dont témoigne Polina. Menacée de mort, elle a dû fuir Moscou. Elle vit aujourd’hui en exil en Finlande, où elle a obtenu l’asile politique. »

(Source : Babelio)

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